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 There were kurious oranj (Mark E.Smith, the Fall)

Note de la Redaction > > Le zata cesse définitvement son activité web.
Vous pouvez consulter le site dans son état de 2010 (il y a un siècle). Plus d'explications par ici ...




 un site en sommeil profond ...

    Fin Mars, début avril 2010, le zata passe en sommeil profond ... plus d'explications ici ....
  

 un curieux webzine indépendant
    C'est par réaction face à une presse aigrie dans laquelle je ne me retrouve pas toujours, habituée à descendre des gens, à faire des tournures faciles (du style "tel groupe se sépare, c'est la meilleur chose qu'il ait fait..."). Vous rajoutez à cela une complicité avec l'industrie de la culture, elle n'est ainsi qu'un maillon du monde commercant dans lequel nous vivons ...
   Tout ce dont je parle m'a touché, m'a ému, si ce n'est pas le cas, ce n'est pas mon rôle de les démonter. Je préfère donc partager mes coups de coeur, pas de coups de sang (c'est mauvais pour le coeur ...)
   Le zata est indépendant, il n'y a pas de "commerce" derrière ce zine, je n'ai aucun profit financier dans cette histoire et le zata ne béneficie pas des services de presse gratuits ...
   Autre but du zata, éveiller la curiosité de ses lecteurs dans un domaine ou les amener vers d'autres. Le zata emprunte souvent avec ses lecteurs les ponts qui existent entre disciplines. Les artistes dont je parle ne sont pas toujours très connus. Pour les gens connus vous trouverez facilement de l'information ... ailleurs...
 une curieuse organisation
    Le zata est en majeure partie une personne (Jean-Marc Sache, votre serviteur) accompagné de quelques collaborations régulières :
       - Toniduran pour des illustrations (bandeau, des couvertures, des illustrations de chroniques...)
         - Kaze Dolemite pour des illustrations et couvertures, ainsi que des chroniques musiques (ex "mange disques et oreilles gourmandes").
        - Fabien Trestini pour des chroniques cinémas interactives.

   Tout ceci est réalisé bénévolement, en dehors de nos (autres) occupations et travails respectifs. Nous sommes donc d'eternels insatisfaits par rapport à ce que nous rêvons de vous proposer dans ce web-zine (par manque de temps et de moyens)...

   Vous pouvez nous contacter (voir la rubrique contact).
un curieux nom ...
un curieux historique ...
   Avant d'adopter son diminutif, le zata s'appellait le Zatapathique illustré.
Le Zatapathique n'a rien à voir avec les révolutionnaires Zapatistes mexicains, si ce n'est l'idée de rébellion... Non le Zatapathique emprunte son nom aux Monty Python, qui sévissaient sur la BBC dans les années séptante avec leur show 'le Flying circus'. Quand il y avait un français dans un sketch, ils le nommaient Jean Zatapathique, imprononçable pour un anglais... un nom étrange et... curieux !

   Pourquoi illustré ?, il y a fort longtemps, j'ai édité quelques numéros d'un fanzine papier (un tirage de moins de 10 exemplaires !), le Zatapathique non illustré (avec un micro ordinateur de la préhistoire de l'informatique). Le Zatapathique illustré lui a succéder en 1996 peu après les pionniers indépendants en langue française (comme Du9 ou Popnews). 22 numéros (chaque numéro regroupant une douzaine de chroniques tout en html statique) sont sortis de l'hiver 96 à l'été 2002, puis le Zatapathique est rentrer en phase d'hibernation, de congés sabbatiques, pour diverses raisons, (voir ci-dessous, l'encadré orange).
   Mai 2004, le site reprend en version dynamique (du code maison, avec les précieuses aides de Laurent Orseau [hinah.com] et Omer Pesquer [lewub.com] et relookée. Exit le système de numéro pour une publication instantanée des chroniques et autres rapidos que vous pouvez désormais suivre par un fil RSS.
   Depuis ses débuts, le site est passé de l'Université de Savoie (en squatt' !), citeweb.net (rip), altern.org (rip) et free.fr.
de curieux congés sabbatiques du zata...
[juillet 2002 à mai 2004]

• Pourquoi le zata s'est-il arrêté de juillet 2002 à avril 2004 ?
     Pour diverses raisons, en vrac en sans classement, le manque de temps (pris sur le temps libre qui du coup devient un peu moins libre), la baisse de motivation (on peut parler de blues du webmaster indépendant... une maladie qui a atteint un bon nombre de web-zines "pionniers", à l'époque le web est arrivé comme un outil formidable, il le reste, mais depuis les marchands du web ont détourné le web à leur manière...). Ce n'est pas un constat d'échec du web indé. mais plus un constat de la victoire du web commercial. Bien sûr le web indépendant continue, mais les perspectives, les espoirs du début se sont un peu envolés...
    Autre raison pour cet arrêt, une gestion qui devient lourde et de plus en plus prenante (je ne peux plus répondre à tous les mails...). Cette chasse perpétuelle contre le temps ne me permettait pas non plus de parler de tout ce que je voulais. Je pensais résoudre cela avec une rubrique actualités... mais c'était encore pire !
    Monter en puissance, prendre d'autres rédacteurs, séparer et partager les tâches auraient été une solution, mais je ne me sent pas de le faire (devenir un patron de presse, même modeste... ce n'est pas dans mon tempérament), je ne sais fédérer que mon énergie (et encore...) pas celle des autres !



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ndlr : le rythme d'actualisation est également curieux ...