 Collectif - 2 Watts Box set M (Bülb comix, Suisse, 2004)
La collection des petites 2 Watts box fait
une étape sur la lettre M en attendant la destination finale. Cette escale en
bichromie et en accordéon vous est proposée par Chris
Ware, Max, Nicolas
Robel (Mr Bülb himself), Philippe
Petit-Roulet et John
Porcellino. |
[14 Juin 04, Jean-Marc] 
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 Marjane Satrapi - Affiche Un Certain Regard (France, 2004)
C'est Marjane Satrapi (Persepolis...) qui illustrait cette année Un Certain Regard, section que l'on pourrait qualifier d'anti-chambre de la compétition officielle du festival de Cannes. Cette nouvelle rencontre entre 7ème et 9ème Art est très réussie. On lui souhaite d'être désormais aussi demandée que Loustal ou encore Mattotti pour ce genre d' exercice. |
[27 Mai 04, Jean-Marc] 
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 Collectif - Lisbonne stories ... (France, 2002)
Aux hasards des sorties, voici deux ouvrages sur Lisbonne, éternelle muse.
Commençons par 'Lisbonne, voyage imaginaire'. Pessoa écrivait "A quoi bon voyager, ..., où serais-je sinon en moi-même, et enfermé dans mon type et mon genre propre de sentiments ?". Raphaël Meltz livre donc un récit d'un voyage imaginaire qu'illustre Nicolas de Crecy, avec des débauches de couleurs. Tout ceci nous rappelle l'excellente collection 'sans amarres' des défuntes éditions DS qui mélangeait textes et illustrations de voyages (avec un livre sur la capitale portugaise signé Prado).
Plus classique, Dupuy & Berberian ont véritablement fait le voyage et livrent leurs 'carnets de Lisbonne' et complètent leurs précédents ouvrages sur Barcelone et New-York également édité par la maison Cornelius.
[10 Avr. 02, Jean-Marc] 
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 Pauline Martin - La meilleure du monde (Ego Comme X, France, 2002)
On avait découvert Pauline Martin dans Ego Comme X, (la revue) puis dans un comics très attachant, 'la boîte'. Que l'on se réjouisse, elle revient sur une durée plus longue (dans le 7ème art on le qualifierait de moyen-métrage), avec 'la meilleure du monde' chez Ego comme X (l'éditeur)
Enfin quand je dis se réjouir, ce n'est pas tout à fait les propos de l'ouvrage, puisque l'héroïne va essayer avec plus ou moins de bonheur d'oublier son ancien petit ami. Le tout est réalisé en bichromie, le noir pour broyer le chagrin, et un vert pour les moments d'espoir. Pauline Martin apporte sa touche très personnelleà la bande dessinée psychologique (... si ce n'est autobiographique), le tout avec un regard féminin, chose bien trop rare dans ce milieu (trop) masculin.
[10 Avr. 02, Jean-Marc] 
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